Dès 2011, pendant la révolte en Tunisie, Telecomix offre aux militants la possibilité d'encapsuler leurs données pour empêcher le régime de retrouver l'origine de leurs publications.
Au plus fort de la révolution égyptienne, alors que les autorités coupent l'accès à Internet, les hackers de Telecomix mettent en place, avec les moyens du bord, un réseau parallèle pour faire perdurer les communications.
En Syrie, ils établissent en quelques jours une carte des ordinateurs connectés et de la censure et parviennent à entrer en contact avec les opposants pour leur enseigner des techniques de cryptage des données.
En Syrie, ils établissent en quelques jours une carte des ordinateurs connectés et de la censure et parviennent à entrer en contact avec les opposants pour leur enseigner des techniques de cryptage des données.